ACEC a écrit:
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......> D'autre part, sachez également que les intempéries
> se calculent en jours ouvrés (du lundi au
> vendredi). En aucun cas, le constructeur ne peut
> vous pénaliser pour des intempéries qui se sont
> passées le week-end puisque les ouvriers ne sont
> pas censé travailler, ces jours-là. S’ils le font,
> c’est justement pour rattraper du retard. ......
houla ! attention de ne pas faire bosser le Dimanche quand même. Sinon l'inspection du travail va en coller une non seulement à l'entreprise mais aussi au maitre d'ouvrage qui est la cause du délit.
Les périodes de congés des entreprises (souvent Août, et aussi Noël) sont généralement connues. Le fait d'avoir cumulé des intempéries et des congés... c'est pas très sympa. Maintenant, l'arrêt d'un chantier en période d'intempérie n'est pas une obligation si les travaux prévus n'ont pas de lien avec celle-ci. Du moment que les travailleurs ne sont pas exposés en terme de sécurité, il ne faut pas prétexter des intempéries pour justifier un retard ! Un quota de jour minimum d'intempérie est connu de tout les professionnels en fonction de leurs activités et de leur région d'intervention. Le gel en hiver, c'est normal. La pluis en mars aussi, les fortes chaleurs en été également.
L'intempérie doit avoir un caractère exeptionnel pour pouvoir influencer le planning du chantier. Le coup de lui demander sa déclaration à la caisse devrait l'agasser pour la journée
