Bonjour et Bonne Année,
Afin de pouvoir envisager la ou les réponses à vos questions, il faut d'abord savoir :
1 le terrain vous appartient-il ?
2 même en cas de refus, souhaitez-vous continuer le projet quitte à en modifier certains critères (autre banque, maison - chère pour favoriser l'accord d'un nouveau prêt) ou autre souhait ?
Si la réponse à ces questions c'est je suis proprio & je veux continuer, vous n'avez aucun intérêt à aller au clash avec le CONstructeur. Car oui s'en est bien un.
Dans tous les cas, il faut re-situer l'ensemble de la situation,
1/ est-ce que le CCMI t'a été envoyé par LR avec AR et as-tu respecté le délai de 7 jours francs pour le renvoyer ?
=> Si les formes et délais préalables non pas été respectés, le contrat est nul et non avenu
2/ pour mémoire le contrat ex CCMI nouvellement UMF ne peut prendre effet que sous couvert de la réalisation des conditions suspensives suivantes :
- être propriétaire de son terrain,
- délivrance du permis construire,
- obtention du ou des prêts prévus au contrat,
- souscription de l'assurance dommage-ouvrage "qui est personnalisée",
- obtention de la garantie de livraison à prix et délai convenu par le cst "attestation pour ton projet !".
=> Si une seule de ces conditions n'a pas été réalisée, le contrat est la aussi nul et non avenu.
Le cst doit te restituer toutes les sommes perçues sans qu'aucune indemnité ne lui soit dû.
Pour finir, en cas d'annulation du ctt qu'advient-il des travaux réalisés :
La loi prévoit également que l'ouverture du chantier est également conditionné à la réalisation des conditions suspensives.
=> Le cst ne peut oublier cette règle et en l'enfreignant, il prend 2 riques :
Ne pas se faire rétribuer pour les travaux déjà réalisés,
Devoir être contraint de remettre le terrain en l'état sous peine d'astreinte financière.
Désolé c'était long, au passage sans remettre en cause sa qualité, il n'est pas toujours nécessaire de se référer à une association de défense des usagers,
Bon courage