Bonjour à tous : Et si le doute s’avérait vrai ?
Si le doute s’avérait vrai concernant une anomalie dans la procédure judiciaire, l’impact du désordre juridique provoqué a des conséquences importantes pour nous :
- Le résultat est un cauchemar ! perte de beaucoup de temps, lourde perte financière, tracasserie innombrables, sûrement insomnie, stress aussi, voir déprime.
- Provoquer une procédure judiciaire, longue, onéreuse et très hasardeuse contre G. Parrou, pour récupérer, déjà, les sommes spoliées sans les frais de justice et autres.
- G. Parrou, forcément repéré par la partie adverse, nous met à mal dans notre procédure initiale. Que vaut son expertise ? Il n’est ni agréé, ni expert, ni ingénieur ! S’il faut refaire une expertise qui va payer ?
Par contre, G. Parrou est une manne financière exceptionnelle à nos dépens pour la magistrature :
- Premier temps ; il est très bon recruteur pour les avocats ciblés pour une affaire contre un artisan ou autre.
- Second temps ; il est l’objet d’une multitude de procédures judiciaires.
Qui serait responsable en premier de ce dommage, si le désordre juridique s’avérait vrai ? De toute évidence, en premier ce sont les avocats qui ont accepté le mandat de G.Parrou. Dans tous les milieux où intervient l’humain, il y a des défaillances, les avocats seraient-ils tous, sans exception, irréprochables ? Un avocat intègre n’aurait jamais accepté une relation professionnelle avec un escroc de l’envergure de G.Parrou. Réfugié en Argentime de 1990 à 1998 pour ne pas purger sa peine d’emprisonnement, qui à son retour, la peine prescrite, reprend la même technique rodée avec avocats pour spolier des personnes déjà victimes. Et qu’il est enregistré dans quasi tous les tribunaux de l’Ouest de la France…
Votre avocat vous a peut-être dit qu’il n’est pas responsable des agissements de G.Parrou. Pourtant, le passé et le présent de G.Parrou ne peuvent pas être ignorés de l’avocat mandaté par l’escroc. Il est stupéfiant que l’avocat n’ait pas fait, au minimum, acte de citoyenneté et dès le départ pour vous protéger de la spoliation.
En fonction du bon sens de tout simple citoyen, l’avocat est complice de l’escroc dans ces cas s’il a :
a. Eté choisi par G. Parrou et accepté son mandat, c’est-à-dire qu’il prend en charge l’affaire tout en informant la victime de sa mission (preuve d’une relation professionnelle avec un escroc).
b. dans l’affaire, arrivé sans présenter de convention écrite, sans mission (preuve d’une relation professionnelle obscure avec un escroc).
c. Entretenu et établi une relation professionnelle, orale ou écrite avec G.Parrou au cours de la procédure (rencontre sur le site, courrier(s) échangé(s)).
d. Travaillé sur plusieurs affaires avec l’escroc (les témoignages de l’enquête apporteront la réponse…).
e. Sur un éloignement systématique des victimes de son cabinet de l’ordre de 100 à 250km, eu aucune réaction. Ne serait-ce que pour les conséquences financières (la motivation est bien-sûr autre !).
f. Eu connaissance de la spoliation évidente des victimes dans la procédure, sans les protéger dans l’immédiat (la victime informe l’avocat, oralement ou de manière écrite des montants exorbitants, conserver les preuves si…).
g. Mandaté par un escroc pour des victimes, il y a forcément une publicité illicite et récurrente dans les pages jaunes ou le web et cela depuis des années et des années (bien sûr connue des avocats qui ont accepté la relation professionnelle).
Codification d'une enquête, mon exemple est réel! : * séparateur, a,b,c,d,e,f,g ; report ci-dessus
a ; non * b ; oui * c ; oui * d ; oui * e ; oui * f ; oui * g ; oui *
h (date du 1er document G. Parrou) 27/06/12 * i (montant en € spolié par G. Parrou) 14187 *
j (date du 1er doc avocat) 16/12/12) * k (nom de l'avocat et ville) Keymeulen Jacques, Poitiers *
Merci de répondre conformément à l’exemple afin de constituer un tableau de données.
grroteau, informe utilement : qu’il y a prescription après 3 ans…mais attention
(Courrier de l’Ouest (49) du 05/11/13 : Maison neuve fissurée, pour résumer ; le dossier est clos deux ans après le refus de la première proposition d’indemnité).
À suivre, mais n’hésitez pas, tous les témoignages sont indispensables (les anciens aussi) pour recouper les affaires, afin de connaître la vérité de cette embrouille sans fin. Avec la codification, c’est facile et rapide !
J’ai donné, à vous !